Le blog de Jean-Marc Ben

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samedi 11 février 2012

Le programme d'Eva Joly en résumé


LA VOIX DU NORD

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lundi 6 février 2012

Eva Joly à Roubaix le 11 février 2012



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Eva Joly a choisi le Nord-Pas-de-Calais pour lancer sa campagne et présenter son programme pour 2012.


Eva Joly, Cécile Duflot et de nombreux "ténors" de l'écologie politique seront rassemblés le samedi 11 février à Roubaix.


Des bus seront affrétés depuis les régions. N'hésitez pas à vous mettre en relation avec Europe Ecologie-Les Verts Calais et Environs par email europeecologielesvertscalais@gmail.com ou en téléphonant au 06 32 82 17 56 ou au 03 21 97 38 98 ou au 06 62 47 70 94 pour l'autobus qui partira vers 13h30 de Calais du parking du Channel Bd Gambetta.


Dans une salle surchauffée et autour de notre candidate, nous serons rassemblé-e-s pour faire valoir les propositions écologistes et faire basculer cette campagne présidentielle en faveur du vote juste !




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mardi 31 janvier 2012

Excursion à Kinderdijk (Pays-Bas) le 28 avril 2012 avec l'association Vivre Au Marais (de Guînes)


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L’association VIVRE AU MARAIS a pour but de faire connaître le Marais, son biotope, sa fragilité, au plus grand nombre de personnes. Elle défend les intérêts des habitants du Marais de Guînes dans le cadre de l’amélioration de l’environnement et de la qualité de vie. Le dispositif des wateringues joue un rôle très important pour la vie du Marais. L'an dernier plusieurs randonnées organisées par l’association ont permis de mieux connaître son fonctionnement.

Le 3 mars une nouvelle randonnée (participation gratuite) nous permettra de voir le drainage de la partie est du Marais. A l’issue de cette randonnée, un repas peut être pris ensemble à Saint Joseph village.

Nous avons l’intention d’en savoir un peu plus en organisant un voyage chez les spécialistes des wateringues en Hollande. La visite d’un site équipé de 19 moulins à vent servant à l’assèchement de polders sera organisée le 28 avril prochain. Le déplacement se fera en car de tourisme, nous visiterons une exposition avec projection de films retraçant l’historique et les réalisations actuelles de cette grande aventure qui a permis aux hommes de vivre sous le niveau de la mer. Nous visiterons également un moulin et nous aurons la possibilité, pour ceux qui le désirent, de voir l’ensemble du site en utilisant un bateau.

Une participation de 35 euros sera demandée pour couvrir les frais du transport et de l’entrée à l’exposition. Un café avec croissants sera offert le matin lors du trajet. Pour le repas du midi prévoir un pique-nique ou utiliser les nombreuses possibilités de restauration sur place.

Renseignements et inscription à l’association « Vivre Au Marais » au 06.81.88.10.37

dimanche 29 janvier 2012

L'émission "Thé ou café" avec Eva Joly

Il y a 8 mois...



Thé ou café avec Eva Joly from julien bayou on Vimeo.



jeudi 26 janvier 2012

Tribune EELV dans Calais Mag n°34 (février 2012)



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vendredi 20 janvier 2012

Eva Joly "Remettre l'école au centre du combat pour l'égalité"


joly1.jpgPour la candidate d'Europe Ecologie Les Verts, il est urgent de lutter contre le stress à l'Ecole. Pas seulement pour améliorer la qualité relationnelle dans l'Ecole mais aussi parce que c'est une étape vers plus d'égalité. Eva Joly souhaite créer 20 000 nouveaux postes d'enseignants dans les quartiers défavorisés. Elle veut lancer des "Etats Généraux de l'Education" pour refonder l'Ecole. Mais sa signature se retrouve particulièrement dans l'idée d'assouplir le rapport à l'école. "De 16 à 25 ans, je veux que chacun puisse facilement interrompre ou reprendre son parcours. Les jeunes français sont parmi les plus stressés du monde : ce stress est lié à l'absence de droit à l'erreur. Je veux donner le droit à l'erreur, le droit de rater, le droit de recommencer. Je veux donner le droit de partir, de travailler, de vivre une expérience personnelle grâce à l’éducation populaire, et de revenir".

Lire l'interview d'Eva Joly réalisé par "Le café pédagogique"

"Le café pédagogique", toute l'actualité pédagogique sur Internet

mercredi 11 janvier 2012

Wild kamperen (in het Nederlands)


HaHaHolmes.bmpSherlock Holmes en Dr. Watson gaan kamperen. Na een goed diner en een flesje wijn besluiten ze te gaan slapen. Een paar uur later wordt Holmes wakker en maakt zijn vriend Watson wakker.

"Watson, kijk naar de lucht en vertel me wat je ziet".
"Ik zie miljoenen sterren Holmes" antwoord Watson.
"En wat maak je daar uit op?"

Watson denkt even na.

"Nou, astronomisch gezien verteld het me dat er miljoenen stelsels zijn en mogelijk miljarden sterren. Astrologisch gezien zie ik dat Saturnus is het sterrenbeeld Leeuw zit. Horologisch gezien kan ik zien dat het rond kwart voor drie 's nachts is. Meteorologisch verlteld het me dat het morgen waarschijnlijk een mooie dag zal zijn. Theologisch gezien kan ik zien dat god almachtig is en wij maar een nietig onderdeel zijn van dit universum. Wat verteld het jou Holmes?"

"Dat de tent gepikt is sukkel !"



Version française

SHERLO_1.PNGSherlock Holmes et le Dr Watson sont au camping. Après un bon repas et une bouteille de vin, ils gagnent leur sac de couchage dans leur tente et s'endorment. Quelques heures plus tard, Holmes se réveille et aussitôt secoue son compagnon.

- Watson, regardez le ciel et dites-moi ce que vous voyez.
- Je vois des millions et des millions d'étoiles.
- Qu'est-ce que cela vous évoque ?
- Astronomiquement, répond Watson, cela me dit qu'il y a des millions de galaxies et potentiellement des milliards de planètes. Astrologiquement, j'observe que Saturne est en Lion. Horairement, j'en déduis qu'il est environ 3 h 15. Théologiquement, je me dis que Dieu est tout-puissant et que nous sommes petits et insignifiants. Météorologiquement, je pense que nous aurons une belle journée demain... Et vous, Holmes ?

Sherlock Holmes reste silencieux une minute.
- Watson, vous êtes une burne. On nous a fauché la tente !


English version

large_280628.jpgSherlock Holmes and Dr Watson go on a camping trip. After a good dinner and a bottle of wine, they retire for the night, and go to sleep. Some hours later, Holmes wakes up and nudges his faithful friend.

"Watson, look up at the sky and tell me what you see."
"I see millions and millions of stars, Holmes" replies Watson.
"And what do you deduce from that ?"

Watson ponders for a minute.


"Well, astronomically, it tells me that there are millions of galaxies and potentially billions of planets. Astrologically, I observe that Saturn is in Leo. Horologically, I deduce that the time is approximately a quarter past three. Meteorologically, I suspect that we will have a beautiful day tomorrow. Theologically, I can see that God is all powerful, and that we are a small and insignificant part of the universe. What does it tell you, Holmes ?"

Holmes is silent for a moment. "Watson, you idiot!" he says. "Someone has stolen our tent!"


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Esperantlingva versio

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mardi 10 janvier 2012

L'OPH, Marinot, Rodin... et Hélène Ben


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vendredi 6 janvier 2012

Voeux de Véronique Boutin (EELV): « Fi de la poudre de perlimpinpin »



Véronique Boutin est secrétaire du groupe Europe Ecologie-Les Verts Calais et environs.


veronique_boutin.jpgEn ce début d'année 2012, je souhaiterais envoyer mes voeux à tout le Calaisis, j'entends par là les personnes qui résident sur le sol de la ville de Calais et de ses environs, quelle que soit la manière dont elles y résident : bonne année aux propriétaires ou locataires d'un logement, aux sans squat fixe, à ceux qui trouvent refuge dans un bosquet...

J'aimerais que 2012 mette enfin l'humain au coeur des débats, que le sort des chômeurs et des migrants de la ville soit pris en compte de manière structurelle. La quête par la municipalité d'un prestige de façade, qui passe par la destruction de rares îlots de beauté encore existant dans la ville et par la construction acharnée de nouveaux bâtiments, ne fait pas oublier la misère persistante que chacun croise sur les trottoirs de notre centre-ville ou des quartiers périphériques. Fi de la poudre de perlimpinpin et des faux-semblants : l'activité de ruche ne nourrit pas ici ses ouvrières au chômage ou au R.S.A.

Dans le contexte de crise qui prouve l'échec du tout-économie, il est plus que temps de prendre le risque d'une politique nouvelle : il est temps de revoir nos modes de vie, de consommation, de gestion, de réflexion ; il est temps de redonner sa place à la culture, qui permet à l'homme de s'envisager dans son environnement naturel et urbain ; il est temps de créer de l'emploi dans le domaine du Développement Durable, qui loin d'être un luxe, est en vérité, la seule voie possible pour un monde plus agréable ; en un mot, il est temps et de donner la priorité à l'emploi et de préserver la qualité de vie de l'humain.

Très bonne année 2012 !

dimanche 1 janvier 2012

Happy New Year ! Gelukkig Nieuwjaar !



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vendredi 30 décembre 2011

Tribune EELV dans Calais Mag: la lecture très sélective d'Eric Dauchart (Voix du Nord)


Eric Dauchart, je l'aime bien. Il réagit (voir ci-dessous) à la tribune que j'ai pu faire admettre (enfin !) dans Calais Mag (le magazine mensuel de la municipalité), au nom d'Europe Ecologie-Les Verts.

Comme je l'avais déjà dit à propos d'autres articles consacrés à ma petite personne dans les rubriques "humoristiques" de la presse locale, j'aime bien les brèves du type "Dessous sans dentelles" de La Voix du Nord ou "Echos et chuchotements" dans Nord Littoral. A ceux qui s'insurgent de se faire épingler parfois, je dirais que cela fait partie du jeu public et que cela montre qu'on compte encore dans la vie politique locale. Parfois ça va trop loin, lorsque le journaliste n'est pas bon et que l'intention est malsaine, mais souvent c'est amusant et c'est la première page qu'on lit quand on se rue sur son journal. Il ne faut donc pas s'étonner d'y voir le trait un peu forcé ou d'y lire des inexactitudes comme ici... Qui pourrait leur reprocher de ne pas avoir la science infuse ?

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DESSOUS SANS DENTELLES
La Voix du Nord, jeudi 29 décembre 2011

La mémoire sélective de Jean-Marc Ben

C'est fou comme les élus peuvent rapidement oublier beaucoup de choses... Dans la tribune consacrée à l'opposition du dernier numéro du magazine municipal Calais Mag, Jean-Marc Ben s'insurge contre « la municipalité qui encourage les délocalisations commerciales en périphérie ». C'est un point de vue. Bon, rappelons quand même que Jean-Marc Ben a été élu à Calais entre 1995 et 2008, dans la majorité, et qu'en sa qualité d'adjoint à l'environnement, il a approuvé l'arrivée des zones commerciales Curie et de la Rivière-Neuve. Qui se situent... en périphérie.

E. D.



Mon commentaire


Eric Dauchart confond, sciemment, "l'arrivée des zones commerciales" d'avant Natacha Bouchart avec la dénonciation des délocalisations commerciales actuelles, ce qui n'est évidemment pas la même chose. Il met la zone Curie en périphérie, ce qui est d'ailleurs assez cocasse: c'est une zone commerciale entre Saint Pierre, Nouvelle-France et Pont-du-Leu. Mais bon ! C'est le ton de cette rubrique "Dessous sans dentelles", il faut accepter ce genre de raccourci. ED (qui n'est pas un magasin dans le cas présent) aurait pu s'attarder aussi sur le début de la tribune: "Alors que la majorité se déchire, légitimer ses actes par le renvoi à un programme électoral virtuel permet au maire d'occulter que l'UMP ne doit la mairie qu'à l'incapacité de son prédécesseur à s'ouvrir et à adapter sa gouvernance aux enjeux de Calais et aux aspirations des Calaisiens." Il aurait compris que nous ne donnons pas quitus à l'ancien maire de Calais sur l'ensemble de son oeuvre et que la participation à une majorité municipale n'implique pas nécessairement une solidarité de gestion sur tous les sujets. Et dans le cas cité, il s'agissait d'implantations commerciales, pas de délocalisations !


J'ai eu l'occasion de dénoncer certaines décisions de l'ancienne majorité, comme l'engouement quasi-général pour Marques Avenue à l'époque. Outre le fait qu'il était surprenant de retrouver des communistes en train de défendre une conception de développement de type libéral, je mettais en avant le manque de réflexion sur l'aménagement du territoire et le développement commercial hypertrophique dans l'ouest de l'agglomération. Les 4B sont arrivés trop tard, après tous ces excès urbanistiques. Nos divergences étaient publiques (on pouvait au moins afficher sa différence à l'époque), et sur bien d'autres sujets. J'y ai consacré quelques tribunes dans l'ancien magazine municipal, alors dénommé Calais Réalité. Bon, les journalistes peuvent aussi oublier...


Plus sérieusement, les écologistes ne luttent pas contre les zones commerciales en tant que telles mais contre le zonage : on vit ici, on travaille ailleurs, on fait ses courses dans les grandes surfaces concentrées dans d’autres espaces « privilégiés » politiquement, les espaces de loisirs et de culture sont eux aussi de plus en plus éloignés… et la mobilité d’une zone à l’autre s’accroît sans cesse, sans réflexion sur les modes de déplacement en site propre. Nous avons ainsi l’héritage d’une époque où la voiture était souveraine, où le pétrole était bon marché et où l’on n’avait pas conscience des catastrophes environnementales liées aux gaz à effet de serre. Cette ville-là n’est plus concevable aujourd’hui mais certains, visiblement, continuent de vouloir recréer la ville des années 60-70, en dépit du bon sens.



Au fond, la conception de la ville pour les écologistes se résume à deux notions complémentaires de la définition universelle du développement durable : la notion de « ville dense » et la notion de « ville compacte ». Internet regorge de sites consacrés à ces questions.

La ville dense est une ville qui cherche à utiliser au maximum l’espace déjà bâti. Quand, à la place d’une petite entreprise industrielle (un entrepôt, ou un atelier sur 1000 m2) dans laquelle travaillaient 25 salariés, entreprise qui a été fermée et a été longtemps transformée en friche industrielle, on construit un immeuble de bureaux, dans lequel officient 250 salariés, on a densifié la ville. Densifier la ville, c’est profiter de toutes ces opportunités pour gagner de nouveaux logements et de nouveaux habitants, c’est multiplier dans le tissu urbain de petites opérations intelligentes, bien intégrées, répondant aux normes écologiques bien connues aujourd’hui, sans reprendre pour autant les constructions massives de l’époque des grands ensembles. Pourquoi ? Pour répondre à un impératif majeur du développement durable : éviter l’étalement de la ville en tache d’huile, grignotant à l’infini des espaces agricoles et des espaces naturels. Une telle ville est très coûteuse à gérer en voirie et réseaux divers : adduction d’eau, traitement des eaux usées, électrification, câblage, voirie, transports en commun, équipements de voisinage… Elle induit un usage intense et quotidien de la voiture, sur des distances de plus en plus grandes, et, fréquemment, chaque ménage doit posséder plusieurs voitures. La ville étalée a un coût terrible pour la collectivité, pour les ménages et pour l’écologie. La ville dense est économe dans tous ces domaines.

La ville « compacte » est une ville dont on rapproche les différentes fonctions. Compacter la ville c’est mener des politiques qui rapprochent le domicile du travail, qui créent des quartiers multifonctionnels, en multipliant les équipements, y compris commerciaux, de proximité. Pourquoi ? Essentiellement pour réduire l’usage de la voiture pour les déplacements quotidiens et rendre par là même une meilleure qualité de vie à tous, tout en protégeant la planète fragile.

jeudi 29 décembre 2011

Europe Ecologie-Les Verts: le projet 2012



Projet 2012

lundi 26 décembre 2011

Noël 2011



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L'album complet

vendredi 23 décembre 2011

Opale Vélo Services: "Nous ne sommes pas de doux rêveurs" (Nord Littoral)



NORD LITTORAL, vendredi 23 décembre 2011


nous-ne-s-4eef40eb_jpg.jpgOpale Vélo Services organisait son assemblée générale samedi

Opale Vélo Services, anciennement Calais Vélo Insertion, remonte la pente après ses déboires d'avril dernier. Lors de l'assemblée générale annuelle, son nouveau président, Jean-Michel Coulomb, a expliqué vouloir revenir aux fondamentaux de l'association : l'insertion et le déplacement doux.

L'association a connu des moments difficiles en avril dernier, que s'est-il passé ?

Jean-Michel Coulomb : « Il y a d'abord eu la démission du président et créateur de Calais Vélo Insertion, Christian Louchez, le 26 avril pour des raisons personnelles. Lorsque j'ai pris sa suite, un de nos premiers soucis était de régulariser la situation financière de l'association. On a dû licencier un de nos salariés pour des raisons économiques. Opale Vélo Service a une dette de près de 10 000 euros à rembourser à Interaction 62. De la valeur s'est également évaporée... »

C'est-à-dire ?

J-M.C : « De l'argent a été pris dans la caisse, des vélos ont disparu mais nous n'avons aucun moyen de savoir si les choses se sont faites avec honnêteté ou non, le suivi de stock n'a pas été réalisé depuis bien longtemps. »

Aujourd'hui, où en est Opale Vélo Services ?

J-M.C: « Le nouveau bureau part avec une gestion défaillante, mais on travaille d'arrache-pied en équipe pour redresser la situation. Nous avons retrouvé une stratégie, on veut pouvoir s'autofinancer sur certains points, notamment les charges salariales. Pour la fin d'année, nous allons aussi revoir nos statuts, et faire un inventaire du stock, ce qui est primordial pour savoir ce que possède réellement l'association. Le suivi global de la structure est aujourd'hui beaucoup plus rigoureux, on se réunit plusieurs fois par mois avec les salariés et le bureau pour savoir comment Opale Vélo Services évolue. »

Et vous avez embauché...

J-M.C : « Nous avions besoin de bras. Un jeune en contrat aidé a donc rejoint Frédéric Boulanger - le seul salarié jusque-là - à l'atelier il y a deux semaines. Il sera mécanicien chez nous pendant six mois, le temps de se remettre sur les rails. En parallèle, il suit des cours au GRETA de Calais. Nous revenons là au rôle premier de l'association, celui de l'insertion. On veut pouvoir créer de l'emploi. »

Justement vos projets pour 2012 vont en ce sens. La réparation et la vente de cycles d'occasion continuent, mais vous souhaitez vous développer sur d'autres niveaux ?

J-M.C : « Nous avons demandé une subvention à Norauto pour créer un atelier mobile. Notre camion se déplacerait sur les marchés du Calaisis, chacun pourrait y apporter son vélo pour une révision complète. Nous allons aussi démarcher Cap Calaisis pour obtenir des modulaires. Le but est de valoriser l'association en vue des Jeux olympiques de Londres. Ces bâtiments serviraient à trier les cycles, à avoir un espace de garage défini et non plus des dizaines de vélos dispersés çà et là, faute d'espace de stockage suffisant. On veut pouvoir louer des vélos pour répondre à la demande des gens de passage pendant les JO. »

Vous ne craignez pas d'être concurrencé par le service des Vel'in, plus visible en ville ?

J-M.C : « Non, nous ne sommes pas de doux rêveurs. Nous apprenons peut-être sur le tas, mais on sait qu'il y a du travail, de la demande dans ce domaine. Il nous faut juste être en position favorable pour y répondre, devenir en quelques sortes une vitrine du déplacement doux sur Calais, un nouveau modèle associatif où le salarié serait au centre de tout. On espère embaucher cinq ou six personnes à long terme. La conscience écologique, aujourd'hui, doit être primordiale. »


M.D.

dimanche 18 décembre 2011

Israël-Palestine, Daniel Cohn-Bendit: "Too much is too much, enough is enough !"





jeudi 15 décembre 2011

Amsterdam 2010


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jeudi 8 décembre 2011

Les petits plaisirs de MademoiselleB


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Voici un peu de pub pour cette petite entreprise qui vous fera découvrir la qualité et l'efficacité de produits de soins 100% naturels, et qui soutient le commerce équitable en collaborant avec des coopératives marocaines.


Savon d'Alep, savon d'argan, rhassoul, huile d'Argan, pierre d'alun, khôl, huile de nigelle, shampooings, crème hydratante bio à l'huile d'argan...


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Catalogue_Automne-Hiver_public_2011-2012.pdfLe catalogue


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mardi 6 décembre 2011

"Jean-Balthazar et Marie-No", un conte de Noël policier de Veronika Boutinova


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dimanche 4 décembre 2011

NL : "Les membres d'EELV ont planté un arbre sur le Quai de la Gendarmerie"

Nord Littoral, samedi 3 décembre 2011


pommier-4ed797e1_jpg.jpgLes membre d'Europe Écologie/Les Verts ont planté un arbre sur le quai de la gendarmerie

Un pommier comme « signal d'alarme »


Il a pris place au milieu des voitures garées sur les bords du canal de Calais. Le long du quai de la gendarmerie, les adhérents d'Europe Écologie/Les Verts (EELV) ont planté ce mercredi un pommier.

« C'est dans le cadre de la Trame Verte et Bleue (NDLR : Grenelle de l'Environnement). Nous voulons que ces parkings disparaissent, qu'ils soient inclus dans le futur éco-quartier, qu'il y ait des négociations et des conventions mises en place entre la CAF et Armatis pour dégager les berges. Rendez-vous compte, le parking de l'ancien office HLM est vide ! », s'exclame Catherine Bourgeois.

Le fait que Natacha Bouchart ait déjà émis le souhait de voir ces parkings disparaître ne calme pas pour autant les ardeurs : « Oui, elle en a parlé lors de la réunion publique. Mais entre dire et faire, il y a une énorme différence. Nous aimerions que ce soit désormais acté », appuie Barbara Chevalier.

« C'est la caricature parfaite de ce qu'il ne faut pas faire »

« C'est un petit signal d'alarme, une piqûre de rappel. C'est avant tout symbolique. Il est prévu de réhabiliter les berges mais on ne sait pas où ça en est. Ce parking actuel, le long du canal, c'est la caricature parfaite de ce qu'il ne faut pas faire », souligne Jean-Marc Ben. « Ce serait quand même sympa de faire des berges avec des espaces verts, des voies pour les vélos », argumente Catherine Bourgeois.

Les représentants d'EELV profitent de l'occasion pour faire passer d'autres messages. « Nous souhaitons voir une coulée verte de Sangatte jusqu'au Bassin des Chasses. A la place, on voit des projets de golf et de résidences qui vont exproprier des agriculteurs qui auraient pu faire du Bio. De même, on voit bien que les 4B ne marchent pas du tout. Pourquoi n'a-t-on pas fait un beau parc en centre ville avec des jeux pour les enfants ? », lance-t-elle.

« Il est clair que nous avons besoin d'espaces de respiration, de bouffées d'oxygène », appuie Jean-Marc Ben.

Quant au pommier, pas sûr que les Calaisiens puissent goûter un jour les granny smith.

GH


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COMMENTAIRE

Je signale que la Granny Smith n'est pas du tout une variété locale. Un ami me le rappelle d'ailleurs. C'est une figure de style humoristique du journaliste. La Lanscailler, la Cabarette, la Colapuis, la Court pendu rouge, la Gris baudet, la Rambour hiver, la Reinette de Flandre, la Reinette des Capucins et plein d'autres sont plus acclimatées. Un autre ami apiculteur nous conseille aussi de planter les "saules Marsault". Premier pollen important pour les bourdons et abeilles pour élever leur couvain... première génération... puis tous les autres arbres mellifères et pollinifères... C'est noté, au nom de la biodiversité... locale.




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DANS LE NORD LITTORAL DU 04/12/2011

pendons_les_ecolos_copie.jpgDans Echos et chuchotements (Nord Littoral du dimanche 4 décembre 2011) le rédacteur en chef qui n'aime pas les opposants à Natacha Bouchart, revient sur cet article et veut à tout prix me tailler un costume pour l'hiver. Soit, c'est le genre de la rubrique. Mais mes propos tout en nuance (« Il est clair que nous avons besoin d'espaces de respiration, de bouffées d'oxygène »), repris au demeurant dans un bon article du journaliste, deviennent catégoriques sous sa plume: "Pas assez d'espaces verts Il n'y a pas assez d'espaces verts dans le centre de Calais... Bien vu. Superbe autocritique car cette réflexion vient de Jean-Marc Ben, Europe Ecologie-Les Verts, et qui a été adjoint à la ville de Calais, sous les mandatures de Jean-Jacques Barthe puis de Jacky Hénin, pendant plusieurs années. On se demande ce qu'il a fait pendant toutes ces années... A cette époque il pensait peut-être que les espaces verts prenaient trop de place, allez savoir !"

Certes, le rédacteur en chef n'est pas tenu de rappeler le bilan des élus écologistes des mandats précédents. Il est tout simplement amnésique et "oublie" allègrement le Colombier-Virval, les Terres Saint Roch au Fort Nieulay, la gestion différenciée des espaces verts et surtout, puisqu'on en parle, la réhabilitation des berges de canaux... qui sont à notre actif. En environnement la municipalité actuelle se contente de gérer l'existant (les réalisations de l'ancienne municipalité en fait) et met en stand-by la poursuite de la réhabilitation des berges de canaux, à commencer par le Quai de la Gendarmerie ! Quand elle ne décide pas tout simplement de reprendre à son compte des projets prévus par l'ancienne municipalité comme le stade Louchez quartier Curie ou de supprimer des évènements importants pour l'environnement, comme la journée "En ville sans ma voiture" ou de bonnes décisions comme la piétonnisation de la digue. Je ne parle pas des autres réalisations dont les écologistes sont à l'origine, et ce en tant qu'élus minoritaires d'une majorité de gauche qui ne croyait même pas au tri sélectif au départ, je vous le concède !

Par conséquent, Monsieur le Rédacteur en chef, tournez sept fois votre plume dans l'encrier avant d'aligner des lignes aussi dénuées de sens. Continuons de rire, je suis un amateur de la rubrique "Echos et Chuchotements" quand il y est vraiment question d'humour... et pas de parti pris politique ou de mensonge. Ca va finir par se voir


Jean-Marc Ben

mercredi 30 novembre 2011

Tribune EELV dans Calais Mag n°32 (décembre 2011)



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mardi 29 novembre 2011

Maëlyne est née mercredi 23 novembre 2011


Ca y est ! Je suis à nouveau papi.


Les premiers jours de Maëlyne avec sa maman et son papa



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Souvenirs... Un an et demi après ce beau mariage, notre petite étoile Maëlyne est descendue du ciel pour illuminer notre vie.






Le Mariage d'Elodie et de Vincent -samedi 15 mai... par jmben62

lundi 28 novembre 2011

Les écologistes, le nucléaire et le plat de lentilles


Par DOMINIQUE VOYNET maire de Montreuil (Europe Ecologie- les Verts) et ex-ministre de l'Environnement


016c.jpgLa messe est dite. Les écologistes auraient, selon divers commentaires, troqué leurs convictions contre des circonscriptions, leur vertu indignée contre des sièges de députés. Hier désintéressés, les voilà d’un coup transformés en politiciens sans foi ni principe. L’argument ? Dans l’accord conclu entre les socialistes et les écologistes ne figureraient pas la sortie du nucléaire et l’abandon de l’EPR de Flamanville (Manche). Examinons donc, sereinement, cette interprétation des choses.

Il est d’abord assez piquant de voir ceux qui moquaient hier l’immaturité adolescente des écologistes s’indigner qu’ils prétendent désormais en sortir. Comme si les écologistes devaient respecter ad vitamaeternam une sorte de loi fondamentale qui leur dirait : «Vous êtes sympathiques et originaux, vous apportez un vent de fraîcheur bienvenu sur la politique, mais jamais vous n’exercerez le pouvoir». Les seuls qualifiés pour ça sont ceux qui l’ont déjà ou l’ont déjà eu. Ils nous ont conduits là où nous sommes ? Qu’importe ! C’est à eux qu’il revient de piocher dans votre projet - novateur mais dérangeant - une dose acceptable d’écologie. Des parlementaires ? Vous n’y pensez pas. Ce qui coule de source pour le PS et l’UMP sonne comme une revendication politicienne pour des écologistes.

Le même procès en illégitimité s’exerçait hier à l’endroit du PS, longtemps suspecté d’irresponsabilité ontologique. Bref, d’inaptitude à l’exercice. Les socialistes, depuis 1981, se sont libérés de ce soupçon. Les écologistes pas encore, malgré la légitimité acquise par leur travail dans les exécutifs locaux.

L’un des enjeux de 2012 est, selon moi, d’en finir avec cet interdit. Nous n’avons pas à nous excuser de prétendre à des responsabilités auxquelles d’autres auraient droit «naturellement». A dire vrai, là où des écologistes ont été appelés à participer à des gouvernements, ils se sont aussi bien que d’autres acquittés de la tâche, faisant preuve de clairvoyance et ne se laissant pas intimider par les lobbies qui sapent l’autorité publique ou par les retournements occasionnels des sondages d’opinion.

Second procès : les écologistes auraient échangé des centrales nucléaires contre des circonscriptions. C’est évidemment absurde. En vérité, ils ont gagné sur les deux tableaux. Sur la réorientation nette de la politique énergétique française, et sur une présence réelle à l’Assemblée nationale. Sur les engagements, et sur les moyens de veiller à leur application. Voilà ce qui agace à la fois toute la droite et ceux qui, à gauche, demeurent scotchés à un modèle en voie d’effondrement et à leurs alliances anciennes.

Que dit ce texte en matière nucléaire ? Que, d’ici à 2025, soit sur une période de treize ans, une majorité de la gauche et des écologistes fermeront vingt-quatre réacteurs nucléaires, «en commençant par l’arrêt immédiat de Fessenheim (Haut-Rhin) et ensuite des installations les plus vulnérables». Qu’aucun nouveau projet de réacteur ne sera initié. Que le projet d’EPR de Penly (Seine-Maritime) sera abandonné. Qu’une stratégie nationale pour l’efficacité énergétique visera à réduire la consommation d’électricité et, partant, les besoins de production électronucléaire. Vendus pour un plat de lentilles ? On ne voit pas bien, dans cette liste, ce qui pourrait justifier l’accusation. Au-delà de l’EPR de Flamanville, sur lequel les écologistes et les socialistes n’ont pu que «prendre acte» de leur désaccord, il s’agit bien de construire, sans parler dès aujourd’hui de «sortie du nucléaire», les conditions permettant d’y parvenir dans les faits.

Pour qui attache, comme moi, plus d’importance a la réalisation des choses maintenant qu’à la promesse de leur irruption magique sur la scène de l’histoire un jour, ce texte-là constitue un très solide point d’appui. Cela ne nous empêchera pas de poursuivre notre travail, plus que jamais nécessaire, pour convaincre nos partenaires qu’il faut arrêter la construction de l’EPR, pour des raisons de sûreté, de logique industrielle et de réalisme budgétaire, et convaincre la société française que non seulement on doit, mais on peut sortir du nucléaire, de manière responsable et raisonnable. Que ce choix sera bien plus créateur d’emplois - et d’emplois durables - que ne le sera jamais l’industrie nucléaire. Quoiqu’en dise Nicolas Sarkozy - et la voix du candidat UMP de demain, déjà, masque celle du président d’aujourd’hui - la sortie progressive du nucléaire ne débouchera ni sur un cataclysme économique ni sur un effondrement social, moins encore sur un retour à l’âge de pierre ! En anticipant des changements qui sont déjà à l’œuvre, en prenant acte de ce qu’une politique industrielle pour demain ne peut pas s’appuyer sur la nostalgie d’hier, il s’agit au contraire de préparer, pour les salariés du nucléaire, un autre destin que celui qui fut réservé, faute d’anticipation, faute de lucidité, aux sacrifiés de la sidérurgie.

La France est de plus en plus isolée dans le monde sur sa défense intransigeante de l’atome. Partout en Europe, on le sait : la raison n’est pas du côté de ceux qui réduisent un débat complexe à des caricatures outrancières, à des préjugés jamais questionnés. La brutalité sidérante des attaques présidentielles en dit long sur le désarroi de Nicolas Sarkozy et sur son incapacité à, simplement, ouvrir les yeux sur les faits. Dans la campagne présidentielle, Eva Joly portera cette nécessité d’aller plus loin, car le monde et l’économie de demain ne seront pas la répétition du monde et de l’économie d’hier. En proposant aux Français les solutions des écologistes, et en rappelant que, sans rien renier de nos convictions, nous sommes prêts, désormais, à gouverner, c’est-à-dire à mettre nous-mêmes en œuvre les politiques que nous proposons pour agir, vraiment, à la hauteur de l’époque.

samedi 26 novembre 2011

Bruges - Brugge

Photos juillet et octobre 2011


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mercredi 23 novembre 2011

6ème anniversaire de la Cour d'Artistes


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lundi 21 novembre 2011

Trois projets dans le collimateur de l'Adeca


Comme le signale Dany Bogaert, président de l'ADECA, "Bien que sans prétention, ce sondage donne des résultats assez révélateurs."

Souvent une simple question de bon sens !


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