Le blog de Jean-Marc Ben

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

Tag - Calais

Fil des billets

jeudi 25 juin 2009

Les responsables calaisiens sont revenus du Congrès de Cap 21 à Angers (20 juin 2009)

                               Christian Louchez (derrière, 2ème en partant de la gauche) et Gwenaelle Jouan (à la droite de Corinne Lepage)

Après la présentation des 7 élus CAP21 de la ville accueillante, Angers, et des actions entreprises par cette ville depuis 1994 (agenda 21, Plan Climat et actuellement tramway), Corinne Lepage, présidente du mouvement a accueilli les congressistes et les a remercié(e)s pour leur campagne des Européennes. Corinne Lepage a réalisé le 2ème score du Modem (8,7%).

Critiques et analyses de l’échec du MoDem :
- personnalisation extrême de la campagne autour de François Bayrou: pas de signature des professions de foi par la candidate, pas d’affiches mettant en scène les candidats, pas de production des fiches techniques réalisées par de nombreux militants MoDem et Cap 21
- faute grave (et peut-être préméditée) lors du débat avec Cohn Bendit. Ce dernier, bien que plus âgé, avec son look moderne, sa maîtrise du débat et ses réponses, a "ringardisé" François Bayrou en le renvoyant au XXè siècle, et à des pratiques politiques d’un autre âge. Alors que le MoDem se devait d’être le parti du XXIème siecle, et faire de la politique autrement.
- enfin, le débat n’était pas assez centré sur l’Europe.

Proposition de stratégie : Constat : la collaboration MoDem/Cap 21 avait été acceptée sur les bases du renforcement d’un fonctionnement démocratique, de l’affirmation des valeurs humanistes et centrer le MoDem sur un projet écologique sociétal global (Parti du Développement Durable). Ces objectifs ne sont pas pour l’heure atteints, loin s’en faut. Le temps a sans doute manqué. On ne propose pas de jeter l’éponge mais de prendre toute notre part dans la rénovation du MoDem, demandée par nombre de militants depuis les élections européennes. Se recentrer sur la conception du projet de société, réactiver les commissions programmatiques. Beaucoup de militants MoDem sont aujourd'hui désemparés, voire en déshérence. Fort aujourd’hui de ses 3000 adhérents (eh oui !) Cap 21 veut tenter encore, au sein du MoDem, de reconstruire le projet. Mais avec une date butoir : fin 2010, avant le congrès du MoDem. Par rapport aux engagements pris, Cap 21réaffirme le principe de subsidiarité pour cette période transitoire, disposant toujours de son autonomie programmatique. Des difficultés de fonctionnement avec le MoDem subsistent, et ralentissent de fait un travail pourtant souhaité par la base du MoDem.

Par ailleurs, CAP21 nouera des contacts avec les autres forces écologistes. La question des alliances régionales sera d’ailleurs posée au MoDem. Il convient de laisser se décanter les choses. Il y aura un "après-européennes". L’été et l’automne vont permettre d’y voir plus clair, avec des rendez-vous importants: réunion Europe Ecologie le 04/07, Université d’été des Verts fin août, Université d’été PS fin septembre, Université d’été MoDem du 4 au 6 septembre). Il convient d’être clair, et Corinne Lepage porte bien ce message : Le MoDem doit se structurer sur un projet de société alternatif aux autres, et donc se centrer sur l’écologie et le développement durable. C'est une nécessité historique. De plus, le MoDem ne doit plus être le parti d’un seul homme politique, sans pour autant en remettre en cause son leadership.

jeudi 11 juin 2009

Sortie vélo dimanche 14 juin 2009

banniereOVS.png

Sortie familiale dans la région de Saint-Omer

Balade vélo+train d’Opale Vélo Services
Rendez-vous gare de Calais 8h50 (prise des billets collectifs sur la base de plusieurs titulaires de cartes TER)

Départ train de 9h13
christian_louchez.jpg Arrêt à Watten

Visite du Blockhaus d’Eperlecques

Balade à Vélo vers Saint-Omer

Repas au « Cabaret » à Saint-Omer (ou tiré du sac selon choix)

Balade vers Arques

Visite de l’ascenseur à bateaux

Retour vélo vers Watten pour les trains du soir après 17h00

Opale Vélo Services 39, Bd Jacquard 62100 Calais, tél 03 21 00 07 41
ovs@orange.fr

vendredi 5 juin 2009

"Capitaliser l'écoquartier à l'échelle de la ville"

lemoniteur.jpg
INTERVIEW DE TAOUFIK TSOUAMI

malmo.jpg
Taoufik Tsouami, enseignant chercheur à l'Institut français d'urbanisme et consultant auprès des collectivités, a étudié en profondeur les écoquartiers du Nord de l'Europe. Fort de son expérience, il propose un autre regard sur les écoquartiers.

Quels sont, selon vous, les exigences minimales auxquelles doit répondre un écoquartier ? Il me semble que cette question reflète une approche française, erronée, de ce que doit être un écoquartier. Aujourd'hui, si les collectivités françaises veulent faire des écoquartiers, c'est parce qu'elles ont vu ce qui s'est fait plus au Nord, il y a déjà plusieurs années. Mais ces modèles du Nord de l'Europe ont aussi un effet paralysant car, de France, on ne regarde que le résultat. Alors, à travers le prisme du nord de l'Europe, les projets français de quartier durable nous apparaissent ridicules. Avec le regard focalisé sur les performances, on oublie de voir l'essentiel : le processus de fabrication. Il y a derrière cette approche une sorte d'élitisme consistant à vouloir instaurer un modèle de quartier durable. La question à se poser est : quelque soit ce qui constituera votre écoquartier, en quoi saurez-vous le capitaliser. L'écoquartier, pour être considéré comme tel, doit s'inscrire dans un processus plus large qui se déroule à l'échelle de la ville.

Qu'entendez-vous par capitaliser ? L'écoquartier est le lieu de formation le plus efficace, bien plus que les établissements académiques. Il doit être prévu, en amont, comme un lieu de transfert de compétences. Cela passe par exemple par un choix intelligent des équipes de maîtrise d'œuvre. Il faut choisir un bon mix entre bureaux d'études régionaux et internationaux, pour que les acteurs locaux puissent acquérir des compétences qu'ils pourront réutiliser sur d'autres projets. On peut aussi

Quels autres conseils donneriez-vous aux collectivités qui souhaitent concevoir un écoquartier ? Une maîtrise d‘ouvrage composite est indispensable à la réussite d'un projet d'écoquartier. Depuis les années 80, on constate un élargissement de la composition des équipes de maîtrise d'ouvrage. Aux collectivités et aménageurs, on voit s'associer des promoteurs, des opérateurs de services urbains, des entreprises de fourniture d'énergie et de communication. Cette mixité des intervenants en amont d'un projet doit être exploité au mieux afin de déboucher sur du « sur-mesure technique ». Mais on peut aller encore plus loin. Par exemple, à Berlin, dès la fin des années 80, pour la rénovation de bâtiments squattés et délaissés par les propriétaires, la ville a mis en place une fiduciaire atypique. La structure comprenait notamment les propriétaires, les coopératives de logements sociaux et une association de résidents occupants.

Un financement symbolique est aussi primordial. Autrement dit, pour lancer un projet de quartier durable, il est important d'obtenir un premier financement public plus qualitatif que quantitatif. Une fois que l'Union européenne accorde un solde pour financer les aspects environnementaux du projet, il est plus facile d'aller en obtenir ailleurs. C'est un gage de qualité du projet.

La communication est aussi primordiale. Plutôt que de recouvrir un projet de « fard à joue » il faut pouvoir communiquer à l'image d'une « boule à facettes », dans laquelle chacun peut voir ce qu'il a envie d'y trouver. En France on a tendance à dresser la vitrine avant de la remplir. Mais les gens ne s'y trompent pas. C'est, par exemple, ce qui a été reproché à la ZAC du théâtre à Narbonne.

Autre point, le suivi du chantier permet au projet de réellement aboutir. Il faut vérifier que les objectifs environnementaux sont maintenus à toutes les étapes : conception, construction, livraison.

L'émergence des écoquartiers ne nécessite t-il pas aussi que les métiers de l'aménagement et de la construction évoluent ? Les environnementalistes doivent rompre avec l'approche classique consistant à opposer la nature à l'urbanisation. Aujourd'hui, il faut comprendre que la ville peut rimer avec biodiversité.

Les architectes ont tous les 20 ans une levée de boucliers. Aujourd'hui, ce sont les objectifs chiffrés liés à la montée en puissance de la construction durable qui leur font dire que leur créativité est réprimée. Il faut qu'ils rompent avec cette position.

Quant aux urbanistes, ils sont confrontés à une variété de nouveaux territoires urbains que l'on ne sait même pas nommer. Cette diversification des espaces soulève le problème de l'écoquartier modèle. Par exemple, on ne peut pas exporter un quartier durable urbain en zone périurbaine. Les modes de déplacements doux ont-ils un sens pour quelqu'un qui s'est installé en milieu rural ? C'est pourquoi, les urbanistes vont devoir complexifier leur vision des territoires.

SUR LE MÊME SUJET

Concevoir un écoquartier : l'exemple de Leidsche Rijn

Concevoir un écoquartier : l'exemple d'Augustenborg

"Ecoquartier : pour sortir du flou" par Rodolphe Deborre

"L'écoquartier ne doit pas être une enclave écologique pour bobos"


Source: LE MONITEUR via Cap21

dimanche 24 mai 2009

La fête des voisins à la Résidence Tournesol

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

On se voit comme ça presque tous les jours "en coup de vent", on se croise, on se lance un bonjour rapide et banal mais on ne se connaît pas. Il faut des journées comme ça pour faire connaissance et créer des moments de convivialité. Et nous, à la Résidence Tournesol, la fête des voisins c'était ce samedi 23 mai. Remercions encore les deux courageuses organisatrices, Marie-France Clipet et Marie-Claire Gomel qui ont "osé" prendre cette heureuse initiative.

Le soleil était au rendez-vous, chacun a apporté une boisson, des amuse-gueules, un plat... et son enthousiasme. C'était la fête, celle du partage et de l'amitié. On s'est présenté, on a découvert la passion, les centres d'intérêt des uns et des autres. On a plaisanté, discuté, parfois sérieusement, et on est reparti avec, déjà, quelques idées pour la prochaine fête des voisins.

Une réussite !

mercredi 20 mai 2009

Portes ouvertes au Lycée Agricole de Coulogne

C'était le 8 mai 2009. L’association "Naturalistes Sans Frontières" était présente au Lycée Agricole de Coulogne pour présenter ses réalisations et projets et la maison à hirondelles et chauves-souris issue de la collaboration de :

maison_a_hirondelles.jpg

- Naturalistes sans Frontière

- La Fondation Nature et Découverte qui a financé à 80 % cette maison à hirondelles/chauves-souris.

- Le Lycée Agricole de Coulogne qui a mis à disposition le terrain et payé les 30 nids artificiels.

- L’entreprise Monchiet qui a travaillé les plans pour aboutir à ce résultat. Un coup de chapeau à cette entreprise représentée par M. Héliot qui a gratté au plus juste ses prix afin de faire en sorte que ce projet devienne abordable financièrement.

Nous avons eu le plaisir de pouvoir parler de la préservation de la biodiversité et des espèces protégées, des solutions que nous préconisons, avec M. DUBUT maire de Coulogne, avec des élus calaisiens : M. Jean-Marc LEROY, M. Jean-Marc BEN et Mme Michèle COURMONT, également présidente de OPH (Office Public de l’Habitat) de Calais.

elus.jpg

Nous avons souligné les causes du déclin de la population des hirondelles qui sont nombreuses et variées :

Parmi celles-ci: la perte de l’habitat, les constructions ne permettent plus l’accroche des nids (cache-moineaux – peinture lisse, PVC). Par ailleurs, les habitants tolèrent difficilement les « salissures » sur leur façade. On assiste donc parfois à des destructions volontaires alors qu’il est si facile d’installer une planche à fientes sous les nids pour régler le problème. Il faut aussi savoir que ces fientes récupérées constituent un excellent engrais.

philhir.jpg

Il y a aussi la disparition des chemins de terres permettant la fabrication des nids remplacés par le goudron et d’autres raisons plus générales : le réchauffement climatique, la désertification. Certaines hirondelles vont jusqu’en Afrique du Sud passer l’hiver , ce qui représente un parcours très éprouvant occasionnant d’emblée une perte de 50% à 60% des effectifs. Lors de leur retour, les hirondelles doivent reconstituer leur réserve de graisse par une halte au Sahel avant d’affronter le Sahara et traverser la Méditerranée. Une sécheresse au Sahel peut s’avérer désastreuse pour cette boule de plumes de seulement quelques grammes ! MAIS IL Y A SURTOUT l’utilisation intensive d’insecticides et autres pesticides qui conduit à une dramatique diminution du nombre de leurs proies et induit également quantité d’empoisonnement par ingestion des insectes contaminés, sans parler de la pollution des boues permettant la construction des nids. Les chiffres officiels sont catastrophiques et annoncent probablement la disparition totale de l’espèce si l’on n’y prend pas garde.

Il n’y a donc pas d’autre choix que de réagir immédiatement avant qu’il ne soit trop tard.

Le «Vécal» arrive pour mettre Calais à vélo

LA VOIX DU NORD, mercredi 20 mai 2009

À BICYCLETTE

le-vecal-arrive-pour-mettre-calais-a-v-1712132_jpg.jpgDans la vitrine de Vélostation, sur le boulevard Jacquard. Les vélos se rêvent déjà maîtres de la ville.

Après le Vélib', le Vélam, le VéloToulouse... Voilà le Vécal. La ville veut s'équiper de vélos à louer dès 2010.

PAR AMANDINE FARAUD

Calais est une ville faite pour les voitures, lance un cycliste pressé, qui roule sur le trottoir rue du Temple, je ne crois pas que ça marcherait : les Calaisiens sont feignants ! » « Moi, j'ai mon vélo, mais ça pourrait être bien pour les touristes, à condition qu'ils aient une carte bleue », commente une Calaisienne. Comme aime à le répéter le maire, Natacha Bouchart, « Calais change », et Calais doit se doter prochainement de vélos en libre-service, à la manière des Vélib'parisiens. « Ce sera un service en complément des transports en commun », avance Philippe Mignonet, adjoint à l'environnement et aux transports. Veolia, société qui exploite les bus de la ville, doit présenter prochainement son projet : des bornes équipées de panneaux solaires, avec trois ou quatre vélos disponibles à la location après paiement par carte bleue ou gsm. Une cinquantaine de stations, amovibles, seraient installées à travers Calais. Les tarifs de location ne sont pas encore fixés. Développer le vélo à Calais, une idée que Christian Louchez met en application avec l'association Vélostation. Installer des Vélib'à Calais, il y avait pensé : « L'idée c'est d'associer les commerçants, chez qui on pourrait louer un vélo, en gardant une structure associative, moins chère que les services d'un prestataire privé. » Une étude était en cours, mais qui ne correspondait pas aux ambitions de la ville : « C'est un projet difficile à mettre en place, le statut associatif peut poser des problèmes », explique Philippe Mignonet. Reste que Vélostation sera associée au projet, condition imposée par la municipalité à Veolia. L'association devrait s'occuper de la logistique et de la maintenance des futurs Vécals. Mais Christian Louchez voudrait aller plus loin : « il faudrait aussi une politique par rapport au vélo, avec des voies plus sécurisées et plus d'emplacements pour stationner. Ce n'est pas facile à mettre en place, mais on pourrait déjà commencer par remettre les couloirs existants en peinture. » Entre autres activités (cf. ci-dessous), Vélostation organise tous les samedis une « vélo-école » pour les enfants. Une bonne initiative, selon Philippe Mignonet. Pour lui, c'est notre comportement sur la route qui doit évoluer. « À Calais, les vélos et les piétons ont la priorité partout. Plus on aura de vélos et plus l'automobiliste sera vigilant. La chaussée ne lui appartient pas. » À bon entendeur...


Qu'il pleuve ou qu'il vente : à vélo ! Véronique Hamy, Calaisienne, est une adepte du deux-roues.

qu-il-pleuve-ou-qu-il-vente-a-velo-1712134_jpg.jpg

Véronique n'a pas le permis de conduire : « J'ai toujours roulé à vélo. Ça fait du bien, c'est écologique et économique ». Les intempéries ? « J'ai mon pantalon et ma veste de pluie. » Seul inconvénient : rouler à vélo est parfois dangereux. « Dans les petites rues, il n'y a pas de place, on est obligés de rouler sur les trottoirs, les voitures ne nous laissent pas passer. J'ai même déjà été percutée par une portière. Sinon, en centre ville, ça va encore. Mais sur les grandes artères, ce serait bien qu'il y ait des pistes cyclables. »


Vélostation

L'association créée voilà un an et demi répare, vend et loue des vélos, mais pas seulement. Les balades :

Dimanche 24 mai, à Ardres le dimanche 14 juin, train + vélo pour une visite de la région de Saint-Omer, qui passera par le blockhaus d'Éperlecques et l'ascenseur à bateaux d'Arques le 28 mai, au platier d'Oye et à Gravelines.Inscriptions closes trois jours avant la date. Tarifs entre 3 et 6 E sans repas, entre 10 et 25 E avec repas.

Le vélo-école : tous les samedis matin, départ 10 h de Vélostation, boulevard Jacquard. 2 E la séance.

Pour les personnes malvoyantes : balades en tandem d'une heure à une heure trente, 4 E la séance.

Un deuxième local en projet au Beau Marais : Réparations, locations, vente, animations... La deuxième antenne Vélostation serait gérée par une personne du quartier en contrat d'insertion.

Renseignements, tarifs et réservations : Vélostation, 39, bd Jacquard, 62100 Calais, 03 21 00 07 41. ovs@orange.fr


lundi 18 mai 2009

Conférence-débat sur le développement durable à Calais (15/05/2009)

Michel Eyraud, délégué régional CAP21 est venu de Lille pour animer cette conférence sur le Développement Durable, ce vendredi 15 mai 2009. Objectif : jeter les bases de la connaissance du sujet à destination des militants Modem et Cap21 présents.

cap21reunion.bmp

Pendant plus d’une heure et demie, les principes du Développement Durable ont été déclinés et illustrés, les participants n’hésitant pas à intervenir tout au long de cette présentation.

Malgré une approche plutôt technique, eu égard au sujet difficile dans son ensemble, les constats ont pu faire consensus. C’est les moyens d’agir qui n’apparaissent pas nécessairement. Ces moyens s’articulent évidemment à une «volonté politique forte», dont l’absence est rédhibitoire. Les étapes suivantes de notre travail seront donc vouées aux pistes concrètes.

Nous sommes convenus de programmer prochainement une réunion (publique, celle là, sur les conséquences du RC sur nos côtes) et une autre interne sur l’idée de monter un agenda 21, véritable outil du DD pour les citoyens et les décideurs.

Merci aux organisateurs du Modem de Calais d'avoir permis en collaboration avec CAP21 cette soirée réussie.

Christian Louchez

Délégué Cap21 Calais Côte d’opale

page 4 de 4 -